Rapports d’étude et de recherche

  • Recherches en cours

    • M. Boucher, M. Belqasmi, A. Petit, « Traitement et prévention de la radicalisation de l’enfance en danger. Les familles : alliées ou adversaires de la prévention des risques de radicalisation ? », financée par le Comité Interministériel de Prévention de la Délinquance et de la Radicalisation.
    • M. Boucher, M. Belqasmi, « Recherche-action sur l’intervention sociale collective et communautaire en Normandie », menée dans le cadre RT expérimentation-formation du Pôle Ressource Recherche de l’Intervention Sociale Normandie.
    • M. Boucher, « Les acteurs de l’intervention sociale collective et communautaire », recherche exploratoire du Laboratoire d’Étude et de Recherche Sociales.
    • M. Belqasmi, « Migrants roms, intervention sociale et action militante à l’épreuve de la politique tsigane », recherche doctorale en cours, sous la direction de Jocelyne Streiff-Fénart, Université de Nice Sophia Antipolis, Unité de Recherche Migrations et Sociétés (UMR 8245)

    Tableau de synthèse des réponses à appels d’offre, programmes de recherche et d’étude réalisés en 2015

    Titre Description

    Date

    Évaluation externe d’une modalité d’intervention sociale d’intérêt collectif. Les groupes de parole Projet d’étude pour le Département des Côtes d’Armor

    Septembre 2015

    Recherche sur l’intervention sociale collective et communautaire : des modes d’action pour l’intégration et la prévention des radicalisations dans les quartiers populaires (France/Canada/Pays-Bas/Espagne) RISCC, Projet de recherche, dans le cadre de l’appel à projets génériques 2015 de l’Agence Nationale de la Recherche

    Octobre 2015

    Traitement et prévention de la radicalisation de l’enfance en danger. Les familles : alliées ou adversaires de la prévention des risques de radicalisation ? Projet de recherche soumis au Comité Interministériel de Prévention de la Délinquance et de la Radicalisation

    Mai 2016

    La laïcité à l’épreuve de la radicalisation dans la Protection Judiciaire de la Jeunesse Réponse à l’appel à projets de recherche de la mission de recherche « Droit et Justice » 2016

    Avril 2016

    Étude relative à la radicalisation chez les jeunes suivis par la Protection Judiciaire de la Jeunesse Réponse à l’Avis de marché n°16-39787 publié le 18-03/2016 par la Direction de la Protection Judiciaire de la Jeunesse

    Avril 2016

    La radicalisation dans la protection de l’enfance. Les familles : alliées ou adversaires de la prévention des risques de radicalisation ? Réponse à l’appel d’offre de recherche ouvert 2016 de l’Observatoire National de l’Enfance en Danger

    Mars 2016


  • « Participation des « usagers » et transformation des pratiques professionnelles des acteurs de la protection de l’enfance. Quels réalités et effets de l’implication des enfants et des parents dans la prise en charge de l’enfance en danger »,
    ONED/LERS-IDS, appel d’offre de l’Observatoire National de l’Enfance en Danger (ONED) obtenu en août 2014, rapport final septembre 2014, 235 p.

    Ce rapport s’inscrit dans le cadre de l’appel d’offre thématique 2012 de l’Observatoire national de l’enfance en danger (ONED) sur le thème « la place de l’enfant au centre de la prise en charge et l’implication des parents dans les pratiques professionnelles de protection de l’enfance ». Il rend compte d’une enquête qui s’est déroulée de septembre 2012 à juin 2014 et présente les travaux réalisés dans les trois sites de la recherche mise en œuvre par le Laboratoire d’étude et de recherche sociales (LERS) et ses partenaires, l’IRTS d’Aquitaine et l’IRTS de PACA-Corse durant près de deux années afin d’étudier « la participation des « usagers » et la transformation des pratiques professionnelles des acteurs de la protection de l’enfance ».

    Cette recherche s’intéresse à plusieurs « objets de connaissance ». Elle interroge « les pratiques des acteurs de la protection de l’enfance dans leurs rapports avec les enfants bénéficiant d’une mesure de protection » ainsi que les relations développées avec les parents, autrement dit, les « usagers » de la protection de l’enfance. Il s’agit notamment d’étudier comment le « vécu de la mesure » de protection et plus largement « la place des usagers » sont interrogés et intégrés dans les pratiques professionnelles, autrement dit, quelle place est accordée à la participation des enfants et des parents au sein des pratiques professionnelles des acteurs de la protection de l’enfance ?

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    « L’évaluation sociale globale à l’épreuve des pratiques professionnelles. Recherche-action sur l’accompagnement social des bénéficiaires du revenu de solidarité active en Seine-Maritime »
    Département de Seine-Maritime/LERS-IDS, appel d’offre du Département de Seine-Maritime obtenu en janvier 2013, rapport final octobre 2014, 64 p.

     

    A la demande de la Direction de l’action sociale et de l’insertion du département de Seine-Maritime, le Laboratoire d’étude et de recherche sociales de l’Institut du développement social de Haute-Normandie a été chargé de mettre en œuvre durant l’année 2013 une démarche de réflexion portant sur les pratiques professionnelles des travailleurs sociaux en matière d’accompagnement social des personnes « allocataires-bénéficiaires » du Revenu de solidarité active (RSA), instauré par la loi n° 2008-1249 du 1er décembre 2008 généralisant le RSA en remplacement du Revenu minimum d’insertion (RMI) en vigueur depuis 1988. Les principes généraux de la démarche étaient de contribuer à la construction de connaissances par et pour les professionnels (cadres intermédiaires, travailleurs sociaux et personnels administratifs de première ligne), dans le but d’accroître les capacités réflexives et d’action des acteurs engagés dans la recherche-action. Dans ce cadre, il importait de distinguer les travaux entrepris d’une démarche d’évaluation ou d’expertise : il s’agissait de mettre en œuvre une démarche de réflexion participative en mesure de favoriser l’expression des professionnels des Unités territoriales d’action sociale (UTAS) et permettant de revisiter les pratiques professionnelles des travailleurs sociaux en matière de « contractualisation » liée au RSA. En outre, la démarche ambitionnait d’interroger les différentes modalités de l’accompagnement social des allocataires du RSA (ARSA) et de questionner des usagers sur leur place dans le dispositif, en investiguant en particulier les espaces collectifs de « participation » dédiés à ces usagers (« groupes ressources »).
    Ainsi, afin d’opérer un « bilan-diagnostic » des pratiques « d’accompagnement social global » des allocataires du RSA (diagnostic, élaboration et mise en œuvre des projets individualisés) et contribuer à la mobilisation des acteurs qui, à des titres divers, concourent à celui-ci, nous nous sommes appuyés sur quelques questionnements généraux :
    • Quelles sont les difficultés rencontrées en matière de diagnostic et « d’accompagnement social » des allocataires du RSA et comment les acteurs des Unités territoriales d’action sociale (UTAS) de Seine-Maritime les interprètent-ils ?
    • Comment, au vu de cet ensemble d’éléments, contribuer au renforcement de l’offre « d’accompagnement social » et la place des usagers dans les processus d’élaboration des projets et des actions qui les concernent ?

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    Diagnostic sur les quartiers du Centre-ville de Dieppe. Contribution au projet de transformation de la Maison des Jeunes et de la Culture de Dieppe en Centre Social et Socioculturel
    MJC de la ville/LERS-IDS, appel d’offre de la MJC Centre-ville obtenu en octobre 2013, rapport final octobre 2014, 89 p.

     

    A la demande de la Maison des Jeunes et de la Culture de Dieppe « centre-ville » (MJC) et de la ville de Dieppe, le Laboratoire d’Etude et de Recherche Sociales a mené cette étude-diagnostic dans le cadre du processus d’élaboration par la MJC de Dieppe « centre-ville » d’un projet social et culturel en vue de l’obtention de l’agrément « Centre social » par la Caisse d’Allocations Familiales de Seine-Maritime (CAF). Dans le but de contribuer à la transformation de la MJC de Dieppe centre-ville (MJC) en Centre social et socioculturel, ce document présente dès lors les résultats de l’investigation menée durant l’année 2013 et 2014 afin de répondre aux attentes de la MJC et de ses principaux partenaires (municipalité de Dieppe et CAF). Il s’agit en effet de contribuer à faire progresser la « politique locale d’animation de la vie sociale » en favorisant la mobilisation des acteurs locaux susceptibles de contribuer à sa définition et à sa réalisation au plus près des besoins de la population (« jeunes », « parents », « familles », personnes âgées, élus, services municipaux, acteurs associatifs, CAF, Direction Départementale de la Jeunesse, des Sports et de la Cohésion Sociale, Conseil Général, club de prévention spécialisée, clubs sportifs, école de musique, établissements scolaires, salles de spectacles, etc.).
    Cette étude doit servir de point d’appui aux responsables de la MJC, ainsi qu’à ses principaux partenaires pour définir les orientations d’un projet social et culturel correspondant aux missions caractéristiques dévolues aux centres sociaux. Tout en s’appuyant sur l’histoire et l’originalité de la MJC, il s’agit de contribuer à l’évolution de la MJC pour faire advenir :
    – un équipement de quartier à vocation sociale globale (ouvert à l’ensemble de la population habitant à proximité : accueil, animation, activités et services à finalité sociale) ;
    – un équipement à vocation familiale et pluri-générationnelle (lieu de rencontre et d’échanges intergénérationnels, développement des liens familiaux et sociaux) ;
    – un lieu d’animation de la vie sociale (prise en compte de la demande sociale et des initiatives, développement de la vie associative) ; un lieu d’interventions sociales concertées et novatrices (basées sur le développement du partenariat).

    Le centre social est « un foyer d’initiatives portées par des habitants associés, appuyés par des professionnels, capables de définir et de mettre en œuvre un projet de développement social pour l’ensemble de la population d’un territoire ». Au-delà de l’étude de besoins, ce diagnostic a pour finalité de contribuer à la mobilisation partenariale des acteurs locaux (acteurs sociaux et habitants) pour qu’ils s’inscrivent dans une stratégie territoriale concertée, expriment des besoins, etc., dont un équipement de proximité de type centre social et socioculturel pourrait se saisir pour développer son action : « L’action des Centres sociaux et socio-culturels s’enracine dans l’expérience vécue des habitants. (…) Elle trouve une condition de son élaboration et de sa conduite dans la convivialité créée par le Centre social » (Charte fédérale des centres sociaux et socio-culturels de France, AG d’Angers, 18 juin 2000).

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    « L’insertion sociale et professionnelle de la jeunesse de la commune d’Arques-la-Bataille »
    CCAS d’Arques-la-Bataille / LERS-IDS, rapport final novembre 2012, 64 p.

     

    Ce rapport est le produit d’une étude menée par le Laboratoire d’Etude et de Recherche Sociales pour le compte du CCAS d’Arques-la-Bataille entre octobre 2011 et avril 2012. Cette enquête de terrain a pour objectif de clarifier les besoins et les réponses apportées en matière d’insertion sociale et professionnelle des jeunes âgés de 12 à 24 ans résidants à Arques-la-Bataille. Ce rapport a donc pour ambition de fournir des éléments pour alimenter la réflexion et l’action des acteurs locaux en direction de la « jeunesse » (12-24 ans) à partir d’une question centrale : comment développer une « politique globale » de la jeunesse adaptée aux réalités locales et qui soit en mesure de favoriser davantage l’insertion sociale et professionnelle des « jeunes » arquais ?

    Pour répondre à cette interrogation, nous avons donc, dans un premier temps, tenté de comprendre la complexité des difficultés d’insertion des jeunes arquais (et leurs familles) en les restituant dans une perspective socio-historique. Ensuite, nous avons répertorié les ressources locales existantes en matière d’intervention sociale, éducative et culturelle en direction de la jeunesse arquaise. Nous avons notamment essayé de savoir comment les difficultés d’insertion, les manques (et les atouts) de l’environnement social, éducatif et culturel étaient perçus par les acteurs de l’action sociale et éducative « spécialistes » de la jeunesse présents à Arques-la-Bataille et, plus largement, dans l’agglomération dieppoise. Cette démarche nous a permis de rassembler un certain nombre d’informations (documents, discours d’acteurs, observation directe, etc.) pour objectiver des besoins de la jeunesse arquaise non comblés et, en particulier, de souligner des limites de l’offre de services existante en matière de socialisation, d’accompagnement social et professionnel, d’accès aux loisirs, à l’instruction, etc. en direction de ces jeunes.

    Ce document présente dès lors un certain nombre d’éléments de diagnostic, ainsi que des propositions d’orientations dont la finalité est de contribuer à faire progresser l’action locale en direction de la jeunesse. En effet, dans le but de contribuer à améliorer les réponses des acteurs politiques et des organismes sociaux aux besoins d’insertion des jeunes arquais, on trouvera dans ce rapport, les résultats d’une démarche d’analyse de données de cadrage et de consultation de différents acteurs locaux (élus, institutions socioéducatives, populations, etc.), qui ont permis d’une part, de préciser les caractéristiques des « jeunes » arquais (démographie, scolarisation, formation-emploi, etc.) et, d’autre part, de repérer les principales difficultés auxquelles ils doivent faire face, mais aussi les ressources sur lesquelles ils sont susceptibles de s’appuyer, ainsi que leurs familles.

  • « L’insertion sociale et professionnelle de la jeunesse de la commune d’Arques-la-Bataille » (avec la collaboration de M. Belqasmi), Rapport pour le CCAS d’Arques-la-Bataille, IDS-LERS, novembre 2012, 64 p.

  •  « Les modes d’intervention psycho-socio-éducatifs de « soutien à la fonction parentale dans les milieux populaires : les transformations de la protection de l’enfance à l’épreuve des représentations, des pratiques professionnelles et des stratégies d’acteurs »,

IDS-LERS, appel d’offre de l’Observatoire National de l’Enfance en Danger (ONED), appel d’offre obtenu en juillet 2009, rapport d’étape avril 2010, 149 p., rapport final mai 2011, 300 p.

Ce rapport de recherche s’inscrit dans le cadre de l’appel à propositions de recherches thématique 2009 de l’observatoire national de l’enfance en danger (ONED). Il présente les résultats d’une recherche menée sous la direction de Manuel Boucher par le laboratoire d’étude et de recherche sociales de l’institut du développement social (LERS-IDS) et ses partenaires (institut régional du travail social d’Aquitaine, institut du travail social de la région Auvergne) entre juillet 2009 et mai 2011 dans trois départements français (Gironde, Seine-Maritime, Puy-de-Dôme). Cette enquête porte sur « les modes d’intervention psycho-socio-éducatifs de « soutien à la fonction parentale » dans les quartiers populaires : les transformations de la protection de l’enfance à l’épreuve des représentations, des pratiques professionnelles et des stratégies d’acteurs ».


  • « Le discernement policier et les actions en quartiers sensibles »,
    IDS-LERS, appel d’offre de la Haute Autorité de Lutte contre les Discriminations et pour l’Egalité (HALDE), appel d’offres obtenu en juillet 2009, rapport intermédiaire octobre 2010, 235 p, rapport final octobre 2011, 435 p.

    Cette étude-action s’inscrit dans le cadre d’un appel d’offre de la Haute Autorité de Lutte contre les Discriminations et pour l’Egalité souhaitant réaliser une « Etude-action sur le discernement et les actions en quartiers sensibles ». En fait, ce travail de recherche vise à répondre aux objectifs conjoints du Ministère de l’Intérieur et de la Haute Autorité de Lutte contre les Discriminations et pour l’Egalité (marché Halde 2009-01) : étudier les actions de police qui s’inscrivent dans une problématique de sécurité publique et de maintien de l’ordre dans des quartiers dits « sensibles ». Plus précisément, il s’agit d’analyser les rapports entre la police et les habitants de ces quartiers, leurs représentations et leurs stéréotypes réciproques afin de mieux comprendre comment la mise en œuvre du discernement dans les pratiques policières pourrait améliorer leurs relations. Dans ce cas, le discernement est entendu comme « le bon sens au service de l’action » ou, pour le dire autrement, comme « la capacité à prendre une décision adaptée en toute connaissance de cause, sans préjugé ni a priori et en respectant l’autre, qu’il soit usager, témoin, victime ou mis en cause ». En outre, cette étude-action part du principe que la mise en œuvre du discernement dans les actions de police peut améliorer les relations entre la police et les populations de quartiers dits « sensibles ». Effectivement, nous postulons que le développement de l’aptitude au discernement des forces de l’ordre peut permettre de freiner les tensions, de réduire les comportements de défiance et les attitudes plus ou moins provocatrices des uns et des autres (policiers et habitants), et plus fondamentalement, de stopper le cercle vicieux des mécontentements, des rumeurs, voire des confrontations violentes.

    Cette étude a dès lors plusieurs objets : il s’agit, d’une part, d’étudier les relations entre policiers et habitants, notamment les « jeunes », sur trois terrains définis par les commanditaires (la ville de Saint-Denis, le quartier des Halles à Paris et deux quartiers de Marseille), et d’autre part, les manières dont la notion de discernement est abordée dans la formation des policiers ainsi que son application concrète. L’articulation des observations et analyses sur ces deux aspects doit permettre d’apporter des éléments pour améliorer la mise en œuvre du discernement dans les pratiques policières. A partir des résultats de cette étude-action, il s’agit également de formuler des préconisations en matière d’action de sensibilisation et de formation des policiers et de bonnes pratiques pour améliorer les relations polices/populations. 


  • « Étude des besoins territoriaux d’accueil de la petite enfance »
    réalisée par M. Belqasmi avec la participation de C. Couetil, pour la ville d’Arques-la-Bataille, LERS-IDS, avril 2010, 43 p.

    Ce document constitue le rapport final de l’étude sur les besoins en matière d’accueil de la petite enfance sur le territoire des communes d’Arques-la-Bataille, Martin-Église, Rouxmesnil-Bouteilles, Martigny, Aubermesnil-Beaumais et Tourville-sur-Arques. Sollicité par le CCAS d’Arques-la-Bataille, le Laboratoire d’Etude et de Recherche Sociales a réalisé ce diagnostic territorial stratégique en vue de faire progresser l’action locale en direction de la petite enfance : il s’agit d’un point d’appui aux acteurs locaux pour préciser un « projet intercommunal d’accueil de la petite enfance » adapté au contexte local. Ce rapport présente dès lors une investigation et une analyse des principaux domaines auxquels les besoins de services d’accueil de la petite enfance sont reliés : aspects géographiques, politiques, sociodémographiques, situation des populations au regard de l’emploi, des déplacements, etc. Au-delà de l’exploitation d’informations contextuelles, en s’appuyant sur l’analyse des besoins exprimés par les élus locaux, les institutions d’action socio-éducative et les populations, cette étude quantitative et qualitative a pour objectif de formuler des préconisations pour une stratégie territoriale concertée destinée à améliorer les réponses des acteurs politiques et des organismes d’action sociale locaux (CAF notamment) aux besoins d’accueil des petits-enfants (0-5 ans) sur le territoire intercommunal.

    Dans la pratique, ce diagnostic vise à répondre à plusieurs questions : Quelles sont les difficultés et les ressources locales existantes en matière d’accueil de la petite enfance ? Comment ces manques (et ces atouts) sont-ils perçus par les acteurs de l’action sociale et éducative des communes concernées ? Quels éléments convient-il de rassembler pour objectiver les besoins non comblés et comment les interpréter ? Quelle est l’offre de service existante en matière d’accueil de la petite enfance, quels sont les projets envisagés, réalisés et quelles sont les priorités énoncées par les acteurs locaux (élus, institutions sociales et éducatives, habitants) sur le territoire des communes concernées et environnantes ? Comment, au vu de cet ensemble d’éléments, améliorer l’offre intercommunale d’accueil de la petite enfance ?

    Aspects méthodologiques
    Au niveau de l’agglomération dieppoise, il existe déjà une offre d’accueil de la petite enfance en structure collective (crèches et/ou haltes-garderies, accueil et éveil, crèche parentale) relativement importante. Cependant, ces établissements se concentrent dans les communes de Dieppe et d’Offranville. Les communes concernées par ce diagnostic représentant à elles seules aux alentours de 8000 personnes, la réflexion sur l’opportunité et les modalités de constitution d’une offre d’accueil de la petite enfance s’articule autour d’une question principale : en quoi les équipements existants (publics et éventuellement privés) ne répondent pas aux besoins et/ou demandes de ces usagers potentiels (file d’attente, problèmes de localisation, d’accessibilité, distance par rapport aux lieux de travail, formules d’accueil inadaptées, etc.) ? En ce sens, au regard de l’ambition des communes concernées par ce diagnostic de constituer un projet de structure d’accueil, ce diagnostic tente d’apporter des éléments quantitatifs et qualitatifs permettant d’une part, d’étudier dans quelle mesure le recours des habitants du territoire intercommunal à des modes de garde collectifs (crèches, haltes-garderies existantes) et individuels (assistante maternelle, réseaux familiaux, garde à domicile) s’effectue par choix ou par défaut, et d’autre part, de repérer une « clientèle » potentielle.

    Pour répondre à ces interrogations, nous avons donc mené cette étude de septembre 2009 à mars 2010 sur le territoire de l’agglomération dieppoise, car, comme nous l’avons précisé, un certain nombre d’acteurs de la petite-enfance sont situés en dehors des communes concernées par le diagnostic. Les données mobilisées dans cette étude sont issues de sources statistiques publiques, de documents récoltés auprès des acteurs locaux, d’une campagne d’entretiens semi-directifs (12 personnes) et d’une consultation par questionnaire (152 sondés). Nous tenons ainsi à remercier l’ensemble des acteurs qui ont accepté de contribuer à la réalisation de ce travail, et tout particulièrement la CAF de Dieppe qui nous a fourni des données sociales essentielles, a co-construit le questionnaire et s’est directement chargée de le faire parvenir à ses allocataires.

    Dans ce cadre, ce rapport d’étude présente les principaux éléments de cadrage et d’analyse de l’enquête réalisée entre octobre 2009 et mars 2010. La première partie rappelle le contexte du diagnostic et propose une réflexion sur les enjeux locaux du développement de l’offre d’accueil de la petite-enfance. La seconde partie étudie des indicateurs dits de cadrage exprimant les principales dynamiques socioéconomique et démographique perceptibles au niveau du territoire enquêté. La troisième partie présente des analyses produites à partir de l’étude, d’une part, du système de garde de la petite-enfance existant, et d’autre part, des usages et des besoins exprimés par des habitants en matière de garde d’enfants. Enfin, une dernière partie expose un certain nombre de préconisations pour améliorer l’accueil de la petite-enfance dans les communes de Arques-la-Bataille, Martin-Église, Rouxmesnil-Bouteilles, Martigny, Aubermesnil-Beaumais et Tourville-sur-Arques.


  • Jeunes « violents » et agents des services publics. Conflits d’usage, rapports paroxystiques et gestion des violences en milieu urbain,
    M.Boucher, M. Belqasmi, LERS-IDS, rapport final pour l’Institut National des Hautes Etudes de Sécurité, octobre 2009, 420 p.

    Problématique et objet de l’étude
    Dans un contexte de recomposition des politiques de « gouvernance urbaine » pour faire face à la crainte de l’explosion massive de violences émeutières juvéniles dans des quartiers ghettoïsés, la question centrale n’est pas de savoir si les quartiers populaires sont en voie de déréliction, en proie à l’anomie et à la désorganisation sociale mais d’interroger les effets et les enjeux des transformations et de la complexification du contrôle social institutionnel et informel. Existe-t-il des formes renouvelées et diversifiées de neutralisation des désordres et des violences juvéniles ? Existe-t-il des pratiques informelles qui permettent la régulation, voire l’inhibition de la violence entre des individus qui habituellement s’opposent ou expriment leur désir de s’affronter violemment ? En effet, au-delà des modes d’intervention classiques de pacification ou de répression des phénomènes violents développés par des institutions et des agents spécialisés, existe-t-il des « pratiques non-institutionnelles de régulation de la violence », c’est-à-dire, non nécessairement reliées à une commande ou à une codification institutionnelle opérée « par le haut » mais mises en œuvre « par le bas ». Par exemple, existe-t-il des pratiques innovantes de régulation et d’inhibition de la violence développées, d’une part, par des acteurs intervenant dans des structures dont l’objectif principal n’est pas de combattre la violence (clubs sportifs, associations culturelles ou spirituelles, établissements scolaires…) mais qui, pourtant, mettent en œuvre des modes d’action alternatifs qui permettent de la stopper ?

    Quoi qu’il en soit, au sein des phénomènes de ghettoïsation des « quartiers pauvres » (Simmel, 1998), qu’ils soient réels ou supposés, les habitants sont d’abord pensés comme des problèmes définis par leurs manques et souvent criminalisés. En effet, dans l’imaginaire collectif, les personnes et les groupes qui vivent dans ces quartiers sont largement considérés comme des déficients culturels et sociaux qu’il faudrait, d’un côté, rééduquer en raison de leurs pré-supposés « défauts » de socialisation et d’intégration et, de l’autre, réprimer, en particulier lorsqu’ils se révoltent violemment pour contester leurs mauvaises conditions de vie. Effectivement, pour résister aux rapports sociaux de domination et de réification (forte dépendance économique, sociale et culturelle, importance des processus de stigmatisation, de discriminations et de racisme mais aussi maintien de rapports néo-coloniaux) dont ils sont l’objet, certains résidents des quartiers d’habitat social n’hésitent pas à adopter des comportements violents d’ailleurs extrêmement redoutés par les institutions et leurs agents chargés d’encadrer les classes populaires. (Mauger, 2001). Dans ce cadre, parmi les habitants du ghetto, les « jeunes de cités sont considérés, notamment en raison de leurs fortes « capacités de nuisance », comme des acteurs sociaux singulièrement dangereux pour l’ordre établi et la tranquillité publique.

    Dans la pratique, cette recherche vise donc à étudier les micro-relations productrices ou régulatrices de confrontations violentes (Collins, 2008) entre des jeunes de quartier populaire caractéristiques des « figures de peur » et des acteurs chargés de prévenir et/ou de réprimer les désordres urbains. En s’intéressant aux motivations, aux logiques d’action et aux raisons d’agir d’acteurs en tension, il s’agit de comprendre quels types de situations et d’interactions (Goffman, 1974 ; Stébé, 2008) favorisent, limitent ou empêchent la production de confrontations violentes. En effet, à l’instar de ce qu’a pu développer François Dubet à la fin des années 1980 dans son enquête sur les jeunes de quartiers populaires et la « galère », nous souhaitons comprendre les interactions frictionnelles en œuvre entre des jeunes et des acteurs sociaux en analysant, d’abord, l’expérience des individus et leurs actions pour, ensuite, les relier au système, notamment celui de la « gouvernance urbaine » : « plutôt que de procéder de manière classique consistant à passer de la situation de l’action et de surdéterminer l’analyse de l’action par l’objectivité de la situation des acteurs en allant à l’objectivité à la subjectivité, il me semblait indispensable de faire le chemin inverse. En décrivant et en analysant l’expérience des individus, en observant ce qui, pour eux, fait sens et fait problème, ce qui est pertinent et ce qui ne l’est pas, ce qui est cohérent et ce qui l’est moins, il est possible de « remonter » de la subjectivité vers l’objectivité, de l’action vers le système. » (Dubet, 2008) Plus précisément, dans la perspective d’une sociologie de l’action, (Touraine, 1984) cette recherche « repose sur l’affirmation de la capacité d’action des habitants du ghetto. Ils ne sont ni méchants ni des victimes, mais ils sont des acteurs de la vie sociale dont les conduites et les propos ont un sens. » (Lapeyronnie, 2008). Nous considérons, en effet, que l’analyse de l’expérience vécue ainsi que des épreuves des acteurs étudiés, notamment des relations qu’ils entretiennent entre eux, est révélatrice de la complexité des processus de production et de contention des violences juvéniles.


  • Diagnostic territorial dans le cadre de l’étude de faisabilité relative aux modalités d’extension de l’action des éducateurs de rue sur l’ensemble du territoire de l’agglomération dieppoise, M. Boucher (en collaboration avec M. Belqasmi, A-F. Dequire), LERS-IDS, rapport final pour la Communauté d’Agglomération de la région dieppoise, novembre 2008, 156 p

    Dans le cadre de l’Étude relative aux modalités d’extension de l’action des éducateurs de prévention sur le territoire de l’agglomération dieppoise commanditée par la Communauté d’Agglomération de la Région Dieppoise et inscrite dans le programme d’actions 2007 du Conseil Intercommunal de Sécurité et de Prévention de la Délinquance (CISPD), ce rapport est le résultat d’une démarche de diagnostic territorial stratégique ayant pour finalité de faire progresser l’action locale en matière de sécurité et de prévention de la délinquance.

    A travers une investigation et une analyse des principaux domaines auxquels les problématiques de sécurité et de prévention de la délinquance sont reliées, cette étude s’attache à analyser la pertinence de l’extension de l’action des « éducateurs de prévention », limitée jusqu’à aujourd’hui à la ville de Dieppe aux communes alentour faisant partie de la Communauté d’agglomération.

    En s’appuyant sur l’analyse de données quantitatives et qualitatives, ce diagnostic formule des préconisations en vue d’établir une stratégie territoriale destinée à améliorer la qualité des rapports sociaux à l’échelle du territoire de l’agglomération dieppoise, de faciliter l’insertion et la reconnaissance des individus qui pourraient développer des pratiques délinquantes et de réduire le sentiment d’insécurité potentiellement ressenti par des populations.

    Dans la pratique, cette enquête vise à répondre à une question principale : dans quelle mesure l’extension de l’action d’éducateurs de prévention aux communes de l’agglomération dieppoise qui n’en bénéficient pas est-elle souhaitable et envisageable, et selon quelles modalités ?

    D’un point opérationnel, en vue de favoriser l’amélioration de la réponse des acteurs locaux en matière de sécurité et de prévention de la délinquance, au-delà d’une réflexion sur la pertinence de développer des pratiques d’intervention sociale spécifiques reliées à la Prévention Spécialisée, ce diagnostic s’oriente vers trois axes :

    • assurer une meilleure prévention des risques de délinquance, notamment juvénile ;

    • renforcer l’accompagnement social et éducatif des populations qui en ont besoin ;

    • développer la coopération entre les acteurs et les instances chargés de la mise en œuvre de l’offre locale de cohésion sociale (municipalités, structures d’intervention sociale, etc.).


    Dans ce cadre, ce rapport final présente les principaux éléments de cadrage et d’analyse d’une enquête réalisée au courant de l’année 2008. La première partie rappelle le contexte du diagnostic et propose une réflexion problématisée sur les enjeux de la Prévention Spécialisée dans ses rapports avec les politiques territoriales de sécurité. La seconde partie présente une analyse d’indicateurs dits de cadrage (démographiques, socioéconomiques, de sécurité, identification des ressources sanitaires, sociales et éducatives). La troisième partie présente les analyses produites à partir des rencontres avec les acteurs locaux classifiésselon trois champs : la prévention sociale, la prévention situationnelle et le champ politico-institutionnel. Enfin, une dernière partie propose des pistes de réflexion et d’action en vue de faciliter la prise de décision des acteurs locaux.

    Méthodologie
    Cette étude s’est déroulée au courant de l’année 2008 sur l’ensemble du territoire de l’agglomération dieppoise. Les données mobilisées sont issues de l’exploitation d’un certain nombre de sources statistiques et de documents récoltés auprès des acteurs locaux et d’une campagne d’entretiens semi-directifs (57 personnes rencontrées au total).

    L’approche qualitative
    Pour la réalisation des interviews, la grille d’entretien s’est structurée en cinq parties : présentation de l’acteur ; bilan de l’existant ; identification de la politique locale de sécurité, de citoyenneté et de prévention de la délinquance ; actions éventuellement menées ; points de vue sur la demande de sécurité des populations. Dans l’ensemble, les entretiens d’une durée de 45 minutes à 2 heures ont été réalisés sur le lieu de travail des interviewés (mairie, gendarmerie, commissariat, lycée, collèges, siège des organismes d’intervention sociale, etc). L’analyse des entretiens distingue différentes catégories d’acteurs interviewés : le champ de la « prévention situationnelle » (forces de l’ordre – police nationale,  gendarmerie et polices municipales, entreprise de transport public ) ; le champ de la prévention sociale (Club de ¨Prévention, établissements scolaires, organismes de formation/insertion/emploi, structures socioculturelles, bailleurs sociaux); les acteurs politico-institutionnels (Préfecture, Conseil Général, Municipalités, Tribunal de Grande Instance, DDASS, CAF,).

    En complément des entretiens individuels et collectifs que nous avons réalisés, pour prendre en compte les positions des acteurs sociaux et les mobiliser dans la perspective du développement d’un maillage d’opérateurs de prévention intervenant sur le territoire de l’agglomération dieppoise, nous avons organisé le 26 mai 2008 une séance de travail collectif inspirée des méthodes de « l’intervention sociologique » (Alain Touraine, 1978). Cette rencontre a réuni une vingtaine de participants (en majorité des « techniciens ») et a duré environ 2h30.

    L’approche quantitative
    Concernant l’approche quantitative, au-delà de l’exploitation de statistiques sociales (CAF, etc.) et de sécurité (État 4001, données des bailleurs sociaux), une enquête de victimation a été lancée au mois de février 2008. Un questionnaire a été envoyé aux 24170 foyers de l’agglomération par le biais du « Dieppe maritime magazine ». Il s’agissait d’interroger les habitants de l’agglomération sur leur propre vécu de la délinquance. (ont-ils été victimes ?, quels sont les espaces et les pratiques désignés comme « insécurisants » ?, comment perçoivent-ils le travail des forces de l’ordre ?, quelles seraient les réponses à apporter ?, quelles sont les attentes à l’égard d’intervenants sociaux spécialisés ?). Cette tentative de diffusion très large laissait entrevoir des résultats, mais sa traduction concrète n’a pas fonctionné (déficit de clarté dans la présentation, confusion avec une image de caméra de vidéosurveillance, au centre du document, livré avec des magazines publicitaires, diffusés en pleine période électorale, etc.). En effet, nous n’avons reçu en retour que 16 questionnaires auto-administrés. Portant sur un sujet politiquement « sensible » (le traitement de l’insécurité) durant une période d’élections municipales, aucune solution alternative plus opérationnelle n’a pue être retenue par le commanditaire.


  • L’intervention sociale et la question ethnique : entre discriminations, racisation et déprofessionalisation,
    M. Boucher, M. Belqasmi, recherche financée dans le cadre du programme européen Equal (2002-2007).

    Cette recherche s’intéresse aux processus sociologiques liés à la différenciation et à la hiérarchisation professionnelle dans le secteur de l’intervention sociale sur des bases ethniques, raciales et nationales ainsi que les formes de constitution, de revendication et de désignation de « frontières ethniques » dans ce champ. Nous avons étudié les processus d’ethnicisation et de racisation du secteur social. Plus généralement, nous avons cherché à savoir si, du côté du système, l’intervention sociale était engagée dans un processus d’ethnicisation favorisé par l’éclatement de ce secteur et si, du côté des acteurs, les intervenants sociaux étaient également les co-producteurs de l’ethnicisation et de la racisation des rapports sociaux (hétéro-racisation, auto-racisation).

 


  • Diagnostic territorial stratégique de l’intégration et de la lutte contre les discriminations de la commune de Cergy (Val d’Oise), rapport final, étude pour le FASILD Région Ile-de-France, Manuel Boucher, Mohamed Belqasmi, Emmanuelle Lada, octobre 2006, 171 pages + annexes.


  • Étude des besoins des employeurs Hauts-Normands en personnel qualifié et en formation dans le champ de l’animation sociale, rapport final, étude pour la Direction Régionale et Départementale de la Jeunesse et des Sports de Haute-Normandie et de Seine-Maritime, Manuel Boucher, Mohamed Belqasmi, Véronique Bordes-Ouvrard, octobre 2006, 92 pages.


  • Étude interministérielle sur les emplois de l’animation de niveau II et III, coordination du Rapport final pour les Ministères des Sports et des Affaires Sociales (DGAS), IDS-LERS-CREDOC, septembre 2004, 150 p.


  • Les besoins régionaux en personnels d’intervention sociale, Rapport final pour la DRASS de Haute-Normandie, Manuel Boucher , Mohamed Belqasmi, IDS-LERS, avril 2004, 156 p. Rapport consultable sur le site de la Direction Régionale des Affaires Sanitaires et Sociales de Haute-Normandie


  • Les projets d’implication paternelle à l’épreuve des premières années, Guido De Ridder, Bertrand Ceroux, Sylvie Bigot, rapport final, CNAF  » Prise en charge de la petite enfance : familles et professionnels « , octobre 2003, 234 p.


  • La non-réponse en matière d’hébergement d’urgence d’un point de vue quantitatif et qualitatif, Rapport pour la DRASS de Haute-Normandie, Manuel Boucher , Mohamed. Belqasmi, IDS-LERS, septembre 2003, 133 p.


  • Ethnographie d’une ville ouvrière en recomposition. Désindustrialisation, désorganisation sociale et insécurité. Perspectives de réflexion et d’action pour combattre les conséquences du retour de l’  » incertitude de l’existence « ,Manuel Boucher , IDS/LERS, mars 2003, 297 p.


  • Diagnostic Local de Sécurité de la ville de Bolbec, Manuel Boucher , Sabine Barbarin-Nicolier, Guido De Ridder, IDS/LERS, décembre 2002, 168 p.


  • L’accueil des demandeurs d’asile en Haute-Normandie, Manuel Boucher , Nicolas Val, Christelle. Zwaardemaker, Guido De Ridder, Rapport de recherche pour la DRASS de Haute-Normandie, mars 2002, 172 p.


  • Nouvelles solidarités et nouvelles concurrences. Acteurs publics, associations musulmanes et catholiques dans les quartier, Guido De Ridder, Manuel Boucher , Mohamed Belqasmi, Rapport de recherche pour la MIRE/Fondation de France, octobre 2000, 265 p.


  • Schéma régional des formations sociales : la formation initiale, Philippe Le Moigne, étude pour la DRASS de Haute-Normandie, mai 2000, 85 pages + annexes.


  • Les métiers émergents dans l’intervention sociale (profils, compétences et besoins de formation), Guido De Ridder, Evelyne Dupont-Lourdel, étude pour la DRASS de Haute-Normandie, mai 2000, 112 p


  • Schéma régional des formations sociales, éléments de cadrage. Philippe Le Moigne, juillet 1999, 73 p.

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